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Par pichspat le 18 Mars 2013 à 23:07
Dire qu’il y a un visage derrière chaque vitre
Brillant en solitaire parfois comme perle dans l’huître
Dire qu’il y a une âme cachée derrière chaque visage
A l’abri depuis qu’elle est née comme dans un coquillage
Dire qu’il y a une conscience du fil à tordre pour l’âme
Qui nous anime et nous reprend quand vient le vague à l’âme
Dire qu’il y a un esprit derrière chaque conscience
Dire que toutes ces choses cachées les unes derrière les autres
De plus en plus belles de plus en plus précieuses
Que le plus beau est toujours intérieur
A la fois le diamant et l’écrin
De plus en plus belles de plus en plus précieuses
Que le plus beau est toujours intérieur
A la fois le diamant et l’écrin
Dire de l’homme ou de l’âme qui des deux contient l’autre
Vient-il du dedans du dehors l’éclat dans son regard
Dire quand l’écrin se ferme que l’âme brille encore
Dire que toutes ces choses cachées les unes derrière les autres
De plus en plus belles de plus en plus précieuses
Que le plus beau est toujours intérieur
A la fois le diamant et l’écrin
De plus en plus belles de plus en plus précieuses
Que le plus beau est toujours intérieur
A la fois le diamant et l’écrin
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Par pichspat le 18 Mars 2013 à 23:23
Il y a aussi "A tu et à toi" de Louis Chédid sur le même thème.
Toutes tes vertus au garde-à-vous
Tu t'évertues à me dire "vous"
Ces "tu" comme un toit entre nous
Lien ténu entre moi et vous
Tes "vous" me tuent
Tes "vous" me tuent, mon amour
Ils tuent l'amour que je te voue
Tous tes foutus "vous" me rendent fou
Comme autant de vitres entre nous
J'ai du mal à joindre les deux "vous"
De ce lien que tes mots dénouent
Tes "vous" me tuent
Tes "vous" me tuent, mon amour
Ils tuent l'amour que je te voue
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Par pichspat le 18 Mars 2013 à 23:47
Elle s’est posée un jour
Venue d’on ne sait où
Comme un bateau s’échoue
Aux tempêtes d’amour
Comme rivière son lit
Elle creuse son sillage
Déterrant au passage
Tout un passé enfui
Elle parcourt sur la peau
Un chemin de bohème
Et pour les gens qui s’aiment
Voyage sans repos
Elle prend ce qu’il lui faut
A la ligne de vie
Jusqu’à ce qu’ayant tout pris
Se profile la faux
Le temps se rit de l’homme
Et le temps ride l’âme
Comme les mots sur les pages
La vie sur les visages
Arrivée à bon pore
Elle puise à l’envi
A la source de vie
Le temps qui s’évapore
Profonde est l’âme sage
Quand elle puise en surface
Les émotions qui passent
Asséchant le visage
Le temps se rit de l’homme
Et le temps ride l’âme
Comme les mots sur les pages
La vie sur les visages
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Par pichspat le 19 Mars 2013 à 00:22
"Personne ne connait personne", c'est dans une nouvelle de Maupassant. Ca m'avait marqué quand j'avais vu une adaptation de la nouvelle par Claude Santelli à la télé ...
On peut vivre ensemble
Jardin secret contre jardin secret
On peut vivre ensemble
En âmes citoyennes
Sans jamais rien savoir des autres
On peut vivre ensemble
Faire vibrer les mêmes secondes
Et - à ce qu’il me semble
En âmes mitoyennesJamais sur la même longueur d’ondes
Personne ne connaît personne
Mais on peut vivre ensemble
Comme voyelle et consonneSi différentes qu’elles s’assemblent
On peut vivre ensemble
Sans s’aimer, se voir, se comprendre
On peut vivre ensemble
En consciences voisines
Sans percer le secret des êtres tendres
Personne ne connaît personne
Mais on peut vivre ensemble
Comme voyelle et consonne
Si différentes qu’elles s’assemblent
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Par pichspat le 19 Mars 2013 à 00:32
De la blessure ouverte au frisson le plus doux
Des caresses expertes aux chaleurs du mois d'août
Des courbes qu'on y trace aux dessins qu'on tatoue
Des lèvres qui embrassent aux gestes qui bafouent
Ta peau oublie toutElle n'a pas de mémoire
Rien que des sensations
Et quand vient le soir...
Elle désapprend mes doigts mes baisers dans ton cou
Au contact d'un autre avec d'autres atouts
Elle ne reconnait rien qui puiss rendre jaloux
Elle retient dans sa main tout ce qe l'on avoue
Ta peau oublie tout
Elle n'a pas de mémoire
Rien que des sensations
Et quand vient le soir...
Ta peau oublie tout
Elle ne veut pas d'histoires
Ellelisse parler son coeur
Et quand vient le soir ...
De la blessure ouverte au frisson le plus doux ...
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Par pichspat le 19 Mars 2013 à 19:29
Je suis parti de l'image d'Yves Montand enlaçant un arbre dans le film de Jean-Jacques Beineix "IP5". Ensuite, le texte a été simplifié pour la chanson. Ci-dessous, c'est le texte d'origine.
Le jour où j’ai enlacé l’arbre
Jusqu’à sentir vibrer ses cernes
Je suis resté de marbre
Plus rien d’autre ne me concerne
L’amour m’a fait sentir sa force
Monter du fond des racines
Dissimulé derrière l’écorce
Il envoie son adrénaline
Ecoute le chant de la sève
Qui monte à l’intérieur
Milliers de mini lèvres
Une seule rumeur
Long, long, il en sait long
Le sage à l’intérieur
Sur les saisons du cœur
Un jour je l’ai serré si fort
La sève a jailli en volcan
Les fruits de ma métaphore
Retomberont Dieu sait quand
Descendue de son piédestal
Dame Nature si généreuse
M’adresse un baiser végétal
Mieux qu’une étreinte amoureuse
Ecoute le chant de la sève
Qui passe à l’extérieur
Milliers de mini lèvres
Une seule rumeur
Il les lit sur nos fronts
Le sage à l’intérieur
Les raisons de nos cœurs
C’est l’amour qui bat, qui vibre
Milliers de sentiments en fibres
A rassurer mon équilibre
Le sage m’a réappris à vivre
Ecoute le chant de la sève
Jusqu’aux feuilles des branches
Milliers de mini rêves
D’une mémoire blanche
Long, long, il en sait long
Le sage à l’intérieur
Sur les saisons du cœur
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Par pichspat le 19 Mars 2013 à 19:54
Venise était là
Au-dessus des eaux
Venise était là
Oui mais plus toi
Piazza San Marco
Pigeons de malheur
Toi tu m'avais pris
Pour un des leurs
Je suis là comme un con
Je suis là comme un con
Quand tu es partie
Derrière ma mémoire
Quand tu es partie
Il faisait noir
Je suis là comme un con
Je suis là comme un con
Je me suis vengée
Et je t'ai tuée
Je t'ai massacrée
Dans ma mémoire
Instrumental
PANG !.. PANG !.. PANG !..
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Par pichspat le 19 Mars 2013 à 20:16
Si tu voulais
On pourrait
Refaire ce monde
A coup de secondes
Oh oui refaire ce monde
Un peu mieux
Qu'il ne l'est
Aujourd'hui
Qu'il ne le
Serait demain
Sans que nous
N'y touchions jamais
A coup de secondes
Oh oui refaire ce monde
Tellement mieux
Qu'il se traîne
Dans la poussière
Des jours d'hier
Sans espoir
Sans lumière
Refaire ce monde
Refaire ce monde
Reconstruire ce monde
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