•  

     Dire qu’il y a un visage derrière chaque vitre
    Brillant en solitaire parfois comme perle dans l’huître
    Dire qu’il y a une âme cachée derrière chaque visage
    A l’abri depuis qu’elle est née comme dans un coquillage

    Dire qu’il y a une conscience du fil à tordre pour l’âme
    Qui nous anime et nous reprend quand vient le vague à l’âme
    Dire qu’il y a un esprit derrière chaque conscience
    Dire que toutes ces choses cachées les unes derrière les autres

    De plus en plus belles de plus en plus précieuses
    Que le plus beau est toujours intérieur
    A la fois le diamant et l’écrin
    De plus en plus belles de plus en plus précieuses
    Que le plus beau est toujours intérieur
    A la fois le diamant et l’écrin

    Dire de l’homme ou de l’âme qui des deux contient l’autre
    Vient-il du dedans du dehors l’éclat dans son regard
    Dire quand l’écrin se ferme que l’âme brille encore
    Dire que toutes ces choses cachées les unes derrière les autres

    De plus en plus belles de plus en plus précieuses
    Que le plus beau est toujours intérieur
    A la fois le diamant et l’écrin
    De plus en plus belles de plus en plus précieuses
    Que le plus beau est toujours intérieur
    A la fois le diamant et l’écrin


    votre commentaire
  • Il y a aussi "A tu et à toi" de Louis Chédid sur le même thème.

     Toutes tes vertus au garde-à-vous
    Tu t'évertues à me dire "vous"
    Ces "tu" comme un toit entre nous
    Lien ténu entre moi et vous

    Tes "vous" me tuent
    Tes "vous" me tuent, mon amour
    Ils tuent l'amour que je te voue

    Tous tes foutus "vous" me rendent fou
    Comme autant de vitres entre nous
    J'ai du mal à joindre les deux "vous"
    De ce lien que tes mots dénouent

    Tes "vous" me tuent
    Tes "vous" me tuent, mon amour
    Ils tuent l'amour que je te voue


    votre commentaire
  •  

     Elle s’est posée un jour
    Venue d’on ne sait où
    Comme un bateau s’échoue
    Aux tempêtes d’amour
    Comme rivière son lit
    Elle creuse son sillage
    Déterrant au passage
    Tout un passé enfui

    Elle parcourt sur la peau
    Un chemin de bohème
    Et pour les gens qui s’aiment
    Voyage sans repos
    Elle prend ce qu’il lui faut
    A la ligne de vie
    Jusqu’à ce qu’ayant tout pris
    Se profile la faux

    Le temps se rit de l’homme
    Et le temps ride l’âme
    Comme les mots sur les pages
    La vie sur les visages

    Arrivée à bon pore
    Elle puise à l’envi
    A la source de vie
    Le temps qui s’évapore
    Profonde est l’âme sage
    Quand elle puise en surface
    Les émotions qui passent
    Asséchant le visage

    Le temps se rit de l’homme
    Et le temps ride l’âme
    Comme les mots sur les pages
    La vie sur les visages


    votre commentaire
  • "Personne ne connait personne", c'est dans une nouvelle de Maupassant. Ca m'avait marqué quand j'avais vu une adaptation de la nouvelle par Claude Santelli à la télé ...

    On peut vivre ensemble
    Jardin secret contre jardin secret
    On peut vivre ensemble
    En âmes citoyennes
    Sans jamais rien savoir des autres

    On peut vivre ensemble
    Faire vibrer les mêmes secondes
    Et - à ce qu’il me semble
    En âmes mitoyennes

    Jamais sur la même longueur d’ondes

    Personne ne connaît personne
    Mais on peut vivre ensemble
    Comme voyelle et consonne

    Si différentes qu’elles s’assemblent

    On peut vivre ensemble
    Sans s’aimer, se voir, se comprendre
    On peut vivre ensemble
    En consciences voisines
    Sans percer le secret des êtres tendres

    Personne ne connaît personne
    Mais on peut vivre ensemble
    Comme voyelle et consonne
    Si différentes qu’elles s’assemblent


    votre commentaire
  • De la blessure ouverte au frisson le plus doux

    Des caresses expertes aux chaleurs du mois d'août

    Des courbes qu'on y trace aux dessins qu'on tatoue

    Des lèvres qui embrassent aux gestes qui bafouent


    Ta peau oublie tout

    Elle n'a pas de mémoire

    Rien que des sensations

    Et quand vient le soir...

      

    Elle désapprend mes doigts mes baisers dans ton cou

    Au contact d'un autre avec d'autres atouts

    Elle ne reconnait rien qui puiss rendre jaloux

    Elle retient dans sa main tout ce qe l'on avoue

      

    Ta peau oublie tout

    Elle n'a pas de mémoire

    Rien que des sensations

    Et quand vient le soir...

     

    Ta peau oublie tout

    Elle ne veut pas d'histoires

    Ellelisse parler son coeur

    Et quand vient le soir ...

     

    De la blessure ouverte au frisson le plus doux ...

     

     

      

      


    votre commentaire
  • Je suis parti de l'image d'Yves Montand enlaçant un arbre dans le film de Jean-Jacques Beineix "IP5".  Ensuite, le texte a été simplifié pour la chanson. Ci-dessous, c'est le texte d'origine.

     

     

    Le jour où j’ai enlacé l’arbre
    Jusqu’à sentir vibrer ses cernes
    Je suis resté de marbre
    Plus rien d’autre ne me concerne

    L’amour m’a fait sentir sa force
    Monter du fond des racines
    Dissimulé derrière l’écorce
    Il envoie son adrénaline

    Ecoute le chant de la sève
    Qui monte à l’intérieur
    Milliers de mini lèvres
    Une seule rumeur
    Long, long, il en sait long
    Le sage à l’intérieur
    Sur les saisons du cœur

    Un jour je l’ai serré si fort
    La sève a jailli en volcan
    Les fruits de ma métaphore
    Retomberont Dieu sait quand

    Descendue de son piédestal
    Dame Nature si généreuse
    M’adresse un baiser végétal
    Mieux qu’une étreinte amoureuse

    Ecoute le chant de la sève
    Qui passe à l’extérieur
    Milliers de mini lèvres
    Une seule rumeur
    Il les lit sur nos fronts
    Le sage à l’intérieur
    Les raisons de nos cœurs

    C’est l’amour qui bat, qui vibre
    Milliers de sentiments en fibres
    A rassurer mon équilibre
    Le sage m’a réappris à vivre

    Ecoute le chant de la sève
    Jusqu’aux feuilles des branches
    Milliers de mini rêves
    D’une mémoire blanche
    Long, long, il en sait long
    Le sage à l’intérieur
    Sur les saisons du cœur

     


    votre commentaire
  •  

    Venise était là

    Au-dessus des eaux

    Venise était là

    Oui mais plus toi

     

    Piazza San Marco

    Pigeons de malheur

    Toi tu m'avais pris

    Pour un des leurs

     

    Je suis là comme un con

    Je suis là comme un con

     

    Quand tu es partie

    Derrière ma mémoire

    Quand tu es partie

    Il faisait noir

     

    Je suis là comme un con

    Je suis là comme un con

     

    Je me suis vengée

    Et je t'ai tuée

    Je t'ai massacrée

    Dans ma mémoire

     

    Instrumental

     

    PANG !..  PANG !..   PANG !..


    votre commentaire
  • Si tu voulais

    On pourrait

    Refaire ce monde

    A coup de secondes

    Oh oui refaire ce monde

    Un peu mieux

    Qu'il ne l'est

    Aujourd'hui

    Qu'il ne le

    Serait demain

    Sans que nous

    N'y touchions jamais

    A coup de secondes

    Oh oui refaire ce monde

    Tellement mieux

    Qu'il se traîne

    Dans la poussière

    Des jours d'hier

    Sans espoir

    Sans lumière

    Refaire ce monde

    Refaire ce monde

    Reconstruire ce monde


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique